
Le Repenti: Quand l'Etat algérien décrétait l'amnésie collective
Son visage d’enfant n’apparaît jamais. On ose à peine prononcer son prénom. Et pourtant c’est à cette petite fille absente que revient le premier rôle du nouveau film de Merzak Allouache, le Repenti. Tout le film se construit autour de son enlèvement dont on apprend les circonstances par petites touches. Décennie quatre vingt-dix. Des milliers d’enlèvements. Terreur islamiste.