Et c’est reparti ! Aujourd’hui mardi 1er octobre 2013 a lieu la rentrée scolaire 2013-2014. Euphorique, comme chaque année, chez les élèves, cartables bourrés de fournitures flambant neuves, heureux de se retrouver après près de trois mois de vacances.
Le réveil des vieux démons à Tenkodogo ; c'est le moins que l'on puisse dire après que le cor a été sonné ce samedi 28 septembre 2013, dans la capitale de la région du Centre-Est. Encore et toujours comme pomme de discorde entre les familles Sorgho et Kéré, l'intronisation des chefs coutumiers, à moins qu'il n'y ait des non-dits inavouables.
Dans la soirée du 28 septembre 2013 à la Base aérienne 511, les 11 élèves officiers pilotes formés aux frais du Burkina Faso ont reçu leurs épaulettes de sous-lieutenant des plus hautes autorités militaires de notre pays.
Les artistes plasticiens du Burkina estiment être les parents pauvres du ministère de la Culture et du Tourisme. Dans la "Lettre ouverte" qui suit adressée au chef de leur département de tutelle, ils peignent en noir certaines choses et font des propositions dans le sens d'une meilleure promotion et visibilité du domaine et de ses acteurs.
Dix années après la dernière législature, les Guinéens renouent avec les législatives. Les griefs contre les préparatfs du scrutin du samedi dernier étaient en effet nombreux côté opposition. En effet, quand elle ne jugeait pas le fichier électoral volontairement "gonflé", c'est la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qu'elle accusait de subordination au pouvoir en place.
Deux civils tués et six soldats blessés samedi dans une attaque-suicide contre un camp de l'armée : tandis qu'un soldat malien et une source militaire africaine au sein de la Minusma, la mission de l'ONU au Mali, ont parlé de deux assaillants, le gouvernement malien dit que l'attentat a été commis "par quatre terroristes", faisant six morts, à savoir "deux civils et les quatre terroristes, qui ont été tués sur le coup".
Cher Wambi, Depuis le début de la semaine qui s'achève, l'on n'a cessé de s'interroger aussi bien dans les services de Mahama Zoungrana, le ministre de l'Agriculture et de la Sécurité alimentaire (MASA), que dans le monde paysan. Dame pluie commence-t-elle à s'essouffler au moment où les plants de mil et de sorgho viennent à peine de plier l'échine ?
Cher Wambi, Depuis le début de la semaine qui s'achève, l'on n'a cessé de s'interroger aussi bien dans les services de Mahama Zoungrana, le ministre de l'Agriculture et de la Sécurité alimentaire (MASA), que dans le monde paysan. Dame pluie commence-t-elle à s'essouffler au moment où les plants de mil et de sorgho viennent à peine de plier l'échine ?
C’est la petite histoire d’une partition qui tourne au vinaigre pour une des deux parties. Il était une fois, un pays au bord du Nil nommé Soudan. Deuxième plus grand Etat d’Afrique en termes de superficie, il avait dans les faits deux capitales, Khartoum au Nord et Juba au Sud, qui se regardaient en chiens de faïence.
Une fois de plus, la Guinée Conakry a rendez-vous avec l'Histoire. Cette Histoire qui semble si souvent y bégayer. Demain 28 septembre 2013, en effet, près de 5 millions de Guinéens sont appelés aux urnes pour élire 114 députés sur 1 800 candidats. 28 septembre ! Une date dont on connaît la charge mémorielle dans la conscience des compatriotes d’Alpha Condé, comme nous le rappelions dans un de nos précédents éditoriaux :
«Des corbillards indésirables à Yalgado». Ainsi dénoncions-nous l’enlèvement clandestin des corps au sein du centre hospitalier universitaire dans notre édition n°8452 du 6 septembre 2013. Sur la question, le premier responsable de la structure a tenu à donner plus de détails.
Economiste de formation, anciennement commissaire à l’UEMOA à Ouagadougou, il était en fin de mandat lorsqu’il a été appelé à exercer, en mai 2012, les fonctions de Premier ministre de transition de son pays, la Guinée-Bissau. A l’occasion de la cérémonie officielle marquant le début du mandat du président Ibrahim Boubacar Keita, le 19 septembre 2013, nous l’avons rencontré au stade du 26-Mars à Bamako.
Cher Wambi, Depuis le début de la semaine qui s'achève, l'on n'a cessé de s'interroger aussi bien dans les services de Mahama Zoungrana, le ministre de l'Agriculture et de la Sécurité alimentaire (MASA), que dans le monde paysan. Dame pluie commence-t-elle à s'essouffler au moment où les plants de mil et de sorgho viennent à peine de plier l'échine ?
Cher Wambi, Depuis le début de la semaine qui s'achève, l'on n'a cessé de s'interroger aussi bien dans les services de Mahama Zoungrana, le ministre de l'Agriculture et de la Sécurité alimentaire (MASA), que dans le monde paysan. Dame pluie commence-t-elle à s'essouffler au moment où les plants de mil et de sorgho viennent à peine de plier l'échine ?
Le drame se joue en plein cœur de l’Afrique, dans un Etat qui n’en a plus que le nom et sous le regard quasi indifférent de ses voisins. La République Centrafricaine, bien connue pour son instabilité chronique, ponctuée de coups d’Etat et de révolutions de palais, est en train de vivre le pire des cauchemars.
Poussive dès le lendemain de la chute de Laurent Gbagbo le 11 avril 2011 et même en panne depuis près de 6 mois, la palabre entre le pouvoir ivoirien et le Front populaire ivoirien (FPI), le principal parti d'opposition, a repris ce 24 septembre 2013.
Les femmes de Simon jubilent depuis hier 25 septembre 2013. La raison, l’augmentation de leur traitement mensuel qui passe de 12 500 F à 37 000 FCFA, soit du simple au triple. La bonne nouvelle est venue de l’actuel maire de la commune de Ouagadougou, Marin Ilboudo.
Le phénomène n’est pas nouveau puisque des cas similaires avaient été déjà signalés à Ouagadougou. Des automobilistes, au sortir d’une banque après transactions et à peine s’être lancés dans la circulation, ont constaté avec amertume la crevaison d’une des roues arrière.
C’est parti pour la 2e session parlementaire de l’année 2013 ! D’une annonce solennelle suivie d’un coup de maillet, le président Apollinaire Soungalo Ouattara l’a lancée. Cette session sera marquée du sceau de la simplicité, selon l’hôte de la soirée. Cette Chambre haute n’étant toujours pas mise sur pied, les députés ne siègent-ils pas à l’Assemblée dans l’illégalité ? A écouter les différents interlocuteurs, les avis semblent partagés.
C’est la petite histoire d’une partition qui tourne au vinaigre pour une des deux parties. Il était une fois, un pays au bord du Nil nommé Soudan. Deuxième plus grand Etat d’Afrique en termes de superficie, il avait dans les faits deux capitales, Khartoum au Nord et Juba au Sud, qui se regardaient en chiens de faïence.
Une fois de plus, la Guinée Conakry a rendez-vous avec l'Histoire. Cette Histoire qui semble si souvent y bégayer. Demain 28 septembre 2013, en effet, près de 5 millions de Guinéens sont appelés aux urnes pour élire 114 députés sur 1 800 candidats. 28 septembre ! Une date dont on connaît la charge mémorielle dans la conscience des compatriotes d’Alpha Condé, comme nous le rappelions dans un de nos précédents éditoriaux :
«Des corbillards indésirables à Yalgado». Ainsi dénoncions-nous l’enlèvement clandestin des corps au sein du centre hospitalier universitaire dans notre édition n°8452 du 6 septembre 2013. Sur la question, le premier responsable de la structure a tenu à donner plus de détails.
Economiste de formation, anciennement commissaire à l’UEMOA à Ouagadougou, il était en fin de mandat lorsqu’il a été appelé à exercer, en mai 2012, les fonctions de Premier ministre de transition de son pays, la Guinée-Bissau. A l’occasion de la cérémonie officielle marquant le début du mandat du président Ibrahim Boubacar Keita, le 19 septembre 2013, nous l’avons rencontré au stade du 26-Mars à Bamako.
En marge des interminables pourparlers sur l'opérationnalisation du Sénat, le Conseil des ministres, en sa séance du mercredi 11 septembre 2013, pour calmer le front social, avait, on se le rappelle, pris un train de mesures au profit des différentes couches socioprofessionnelles.
Depuis la nuit du dimanche 22 septembre 2013, les candidats burkinabè au Hadj partent pour la Mecque. Cette année, l’incertitude sur les différents vols en direction de la terre sainte de l’islam s’est dissipée. Cependant, le manque d’encadrement des pèlerins est toujours perceptible.
