
Jeune journaliste française. A travaillé au Burkina Faso
Un brin de vent chaud qui effleure le visage, une ambiance tranquille, peu de voitures. Dans le centre-ville de Bobo-Dioulasso, on peut circuler à pied, le long des rues bordées d'immenses manguiers. Le rythme paisible, la proximité du plan d'eau appelé «Guinguette», lorsqu'on veut se baigner. Et puis, surtout, l'accueil chaleureux de la population, toujours disposée à causer, à vous renseigner ou à vous aider dans vos démarches sans que vous n'ayez besoin de demander.Les vrais citadins, Ouagalais un brin chauvins, assimilent même Bobo à la campagne.