
Ces conflits dont plus personne ne parle
Longtemps, il lutta pour préserver l'unité du Soudan. Mais à la fin des années 2000, Omar el-Béchir finit par «respecter le choix des citoyens du Sud.» Avant d’abandonner 70% des richesses pétrolière du pays, le président soudanais prévint toutefois: la partition actée, il ne sera plus temps de «discuter de diversité culturelle et ethnique.