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La censure d’Internet serait-elle de retour en Tunisie? C’est ce que déclare le Parti Pirate qui a décortiqué un décret promulgué au mois de novembre et qui met en place une Agence Technique des Télécommunications, censé assurer un appui technique aux investigations contre « les crimes des systèmes informatiques et de la communication ».
La censure d’Internet serait-elle de retour en Tunisie? C’est ce que déclare le Parti Pirate qui a décortiqué un décret promulgué au mois de novembre et qui met en place une Agence Technique des Télécommunications, censé assurer un appui technique aux investigations contre « les crimes des systèmes informatiques et de la communication ».
Le 19 novembre dernier marquait l’anniversaire des deux ans de manifestations anti-régime militaire, en 2011, qui s’étaient terminées dans le sang. Cette année, le gouvernement de transition, placé sous l’égide du général Al-Sissi, ministre de la Défense qui a proclamé la déchéance du président islamiste Mohamed Morsi en juillet dernier, un an après son élection, a rendu un hommage paradoxal aux « martyrs ».
Le 19 novembre dernier marquait l’anniversaire des deux ans de manifestations anti-régime militaire, en 2011, qui s’étaient terminées dans le sang. Cette année, le gouvernement de transition, placé sous l’égide du général Al-Sissi, ministre de la Défense qui a proclamé la déchéance du président islamiste Mohamed Morsi en juillet dernier, un an après son élection, a rendu un hommage paradoxal aux « martyrs ».
Près de 12 000 algériennes se plaignent chaque année de violence, 261 en sont mortes en 2012. Combien d’autres la subissent en silence et en meurent dans le secret d’une société qui cultive le tabou pour ne pas faire face à ses démons?
Près de 12 000 algériennes se plaignent chaque année de violence, 261 en sont mortes en 2012. Combien d’autres la subissent en silence et en meurent dans le secret d’une société qui cultive le tabou pour ne pas faire face à ses démons?
Algérie 1 – Burkina Faso 0 L’Algérie a gagné sa place en coupe du monde. Une bouffée d’oxygène pour 37 millions d’habitants qui retiennent leur souffle depuis des jours. Les Algériens sont sortis, le temps d’un match, de la platitude de leur quotidien qui laisse si peu de place au plaisir. Ils avaient besoin de rêver, les Fennecs les ont fait rêvés et le rêve se poursuivra encore sept long mois avant d’arriver au Brésil.
Algérie 1 – Burkina Faso 0 L’Algérie a gagné sa place en coupe du monde. Une bouffée d’oxygène pour 37 millions d’habitants qui retiennent leur souffle depuis des jours. Les Algériens sont sortis, le temps d’un match, de la platitude de leur quotidien qui laisse si peu de place au plaisir. Ils avaient besoin de rêver, les Fennecs les ont fait rêvés et le rêve se poursuivra encore sept long mois avant d’arriver au Brésil.
La Fondation Thomson Reuters a récemment publié un sondage sur les droits des femmes dans le monde arabe. Au lieu d’interroger objectivement la place des femmes dans chacun des pays, ce sondage révèle plutôt l’état de l’opinion sur cette question.
La Fondation Thomson Reuters a récemment publié un sondage sur les droits des femmes dans le monde arabe. Au lieu d’interroger objectivement la place des femmes dans chacun des pays, ce sondage révèle plutôt l’état de l’opinion sur cette question.
Le FLN, Front de Libération Nationale, parti historique détenant la majorité en Algérie, s’est lancé dans la course à la Présidence. Il plébiscite officiellement Abdelaziz Bouteflika, 76 ans, à la tête de l’État depuis 14 ans, pour un quatrième mandat.
La crise politique semble sans fin en Tunisie. Alors qu’un Dialogue national a été initié au mois d’octobre par le Quartet ( UTICA, la LTDH, l’ONAT et l’UGTT ) qui a réussi à mettre à table la plupart des partis politiques, ce dialogue a vite tourné court faute de consensus.
Le FLN, Front de Libération Nationale, parti historique détenant la majorité en Algérie, s’est lancé dans la course à la Présidence. Il plébiscite officiellement Abdelaziz Bouteflika, 76 ans, à la tête de l’État depuis 14 ans, pour un quatrième mandat.
La crise politique semble sans fin en Tunisie. Alors qu’un Dialogue national a été initié au mois d’octobre par le Quartet ( UTICA, la LTDH, l’ONAT et l’UGTT ) qui a réussi à mettre à table la plupart des partis politiques, ce dialogue a vite tourné court faute de consensus.
La Thomson Reuters Foundation a publié une étude très contestée sur les droits des femmes dans le monde arabe. De là est né un classement: l’Égypte est en dernière position. Les Comores en première.
La Thomson Reuters Foundation a publié une étude très contestée sur les droits des femmes dans le monde arabe. De là est né un classement: l’Égypte est en dernière position. Les Comores en première.
Pour la combattante Djamila Bouhired, icône de la Révolution algérienne, «L’enfer, c’est ceux qui gouvernent l’Algérie ». En revisitant la célèbre expression de Sartre, « l’enfer, c’est les autres », qu’elle applique à la réalité algérienne, elle s’inquiète pour son pays et menace de sortir dans la rue si le Président Bouteflika brigue un 4ème mandat pour les élections présidentielles d’avril 2014.
Pour la combattante Djamila Bouhired, icône de la Révolution algérienne, «L’enfer, c’est ceux qui gouvernent l’Algérie ». En revisitant la célèbre expression de Sartre, « l’enfer, c’est les autres », qu’elle applique à la réalité algérienne, elle s’inquiète pour son pays et menace de sortir dans la rue si le Président Bouteflika brigue un 4ème mandat pour les élections présidentielles d’avril 2014.
A première vue, c’est une histoire de photographie, d’espace et de femmes. Mais à bien y regarder c’est surtout la place de la femme dans l’espace public dont il s’agit et plus particulièrement, la place de la femme dans la rue tunisienne. Parce qu’il n’y a pas que les hommes qui ont le droit de rester dehors assis au café Blasti.tn est une initiative qui pousse les femmes à photographier les endroits qu’elles aiment et donc à prendre la rue d’assaut.
A première vue, c’est une histoire de photographie, d’espace et de femmes. Mais à bien y regarder c’est surtout la place de la femme dans l’espace public dont il s’agit et plus particulièrement, la place de la femme dans la rue tunisienne. Parce qu’il n’y a pas que les hommes qui ont le droit de rester dehors assis au café Blasti.tn est une initiative qui pousse les femmes à photographier les endroits qu’elles aiment et donc à prendre la rue d’assaut.
Interlude. La musique adoucit les mœurs, il paraît. La société égyptienne bien polarisée politiquement et au bord de la crise de nerfs socialement peut-elle trouver un exutoire dans des chansonnettes? Oui et non, la preuve en trois exemples.
Les débats du journal algérien El Watan auront finalement lieu demain samedi 09 novembre à la salle Cosmos de Riadh El Feth (Alger). Jeudi, la direction du quotidien El Watan avait dénoncé une «grave atteinte à la liberté de la presse et d’expression dans notre pays», suite à l’interdiction qui lui a été formulée par l’administration, d’organiser sa rencontre.
Interlude. La musique adoucit les mœurs, il paraît. La société égyptienne bien polarisée politiquement et au bord de la crise de nerfs socialement peut-elle trouver un exutoire dans des chansonnettes? Oui et non, la preuve en trois exemples.
Les débats du journal algérien El Watan auront finalement lieu demain samedi 09 novembre à la salle Cosmos de Riadh El Feth (Alger). Jeudi, la direction du quotidien El Watan avait dénoncé une «grave atteinte à la liberté de la presse et d’expression dans notre pays», suite à l’interdiction qui lui a été formulée par l’administration, d’organiser sa rencontre.
La censure frappe encore en Algérie. Les pouvoirs publics viennent d’interdire la tenue d’un débat organisé par le quotidien algérien El Watan. Prévus samedi 9 novembre à la salle Cosmos de l’Office Riadh El Feth à Alger, ce débat devait rassembler des experts ( juriste, sociologue, politologue et économiste), autour du thème: « Statue quo autoritaire : Quel coût pour l’Algérie? ».