CM 2014 : Algérie-Burkina Faso, "ce sera comme
Les assaillants qui ont pris d'assaut fin septembre le centre commercial Westgate de Nairobi se seraient entraînés en Somalie avant de passer la frontière kényane quatre mois avant l'attentat, selon une source occidentale proche de l'enquête. "Nous pensons que les quatre hommes ont traversé la frontière avec le Kenya en juin", en provenance de Somalie, a indiqué mardi cette source, rapporte l'AFP. Les assaillants auraient établi leur base à Eastleigh, le quartier somalien de la capitale kényane.
Human Rights Watch (HRW) a appelé le « gouvernement libyen à tenir immédiatement sa promesse de désarmer les milices ». Selon l'ONG de défense des droits de l'Homme, « les milices de Misrata ont tiré sur des manifestants pacifiques avec des fusils d'assaut, des mitrailleuses et des armes lourdes », lors des affrontements vendredi dernier entre groupes armés à Tripoli, qui ont fait 43 morts.
Human Rights Watch (HRW) a appelé le « gouvernement libyen à tenir immédiatement sa promesse de désarmer les milices ». Selon l'ONG de défense des droits de l'Homme, « les milices de Misrata ont tiré sur des manifestants pacifiques avec des fusils d'assaut, des mitrailleuses et des armes lourdes », lors des affrontements vendredi dernier entre groupes armés à Tripoli, qui ont fait 43 morts.
La Côte d'Ivoire et la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) ont signé un accord de prêt de 2,5 millions de dollars (1,25 milliards de francs CFA), selon le ministère ivoirien de l'Economie et des Finances. Cette somme doit permettre de réhabiliter un lycée professionnel à man, à 570 km à l'ouest d'Abidjan. Il s'agit d'un "prêt additionnel" qui vient compléter un premier montant de cinq millions de dollars (environ 2,5 milliards de francs CFA) accordé en octobre 2007 et qui a permis d'entamer les travaux.
Un journaliste ivoirien a été assassiné en fin de semaine dernière à Abidjan par des hommes armés, a annoncé ce mardi le responsable du Syndicat de la presse privée de Côte d'Ivoire (Synapp-CI). Désiré Oué, 40 ans, est le premier journaliste tué en Côte d'Ivoire depuis la fin de la crise postélectorale de 2010-2011. Un autre journaliste, Dieusmonde Tadé, employé du quotidien Le Nouveau Réveil a été enlevé dans la nuit de lundi à mardi puis relâché mardi matin à une soixantaine de kilomètres d'Abidjan, a déclaré à l'AFP Patrice Yao, le directeur général de ce journal.
La diplomatie américaine s'est alarmée ce mardi d'une situation de "pré-génocide" en République centrafricaine (RCA), à mesure que le pays s'enfonce dans les violences inter-communautaires, notamment entre chrétiens et musulmans. Lors d'une audition devant la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, un cadre du département d'Etat a par ailleurs confirmé que les Etats-Unis disposaient de "conseillers" militaires en RCA dans le cadre de la traque régionale du chef rebelle ougandais Joseph Kony recherché par la justice internationale.
Le gouvernement ivoirien a annoncé ce mardi la mise en place d'une "Haute autorité pour la bonne gouvernance" alors que le pays, qui connaît une forte croissance, est critiqué par son niveau de corruption. René François Aphing-Kouassi, magistrat de formation et ministre de la Défense de 2005 à 2007 dans un gouvernement d'union nationale sous l'ancien président Laurent Gbagbo, a été nommé à la tête de cet organisme par décret du chef de l'Etat Alassane Ouattara, lu devant la presse.
Une personne a été tuée et vingt autres ont été grièvement blessées ce mardi près de Durban, en Afrique du Sud, dans l'effondrement du toit d'un centre commercial en construction, sous lequel une cinquantaine d'ouvriers seraient encore coincés, selon la police et les secours. "La plupart de ceux qui sont encore coincés à l'intérieur du bâtiment sont des ouvriers.
Un groupe lié au réseau Al-Qaïda a revendiqué ce mardi l'assassinat au Caire d'un officier de la police antiterroriste égyptienne impliqué dans la répression contre les islamistes après la destitution par l'armée du président Mohamed Morsi. Ansar Beit al-Maqdess a affirmé dans un communiqué que ses membres avaient tué par balles dimanche le lieutenant-colonel Mohamed Mabrouk, menaçant de tuer d'autres officiers qu'il accuse d'emprisonner des manifestantes.