
mis à jour le
Mohamed Bensadok, le jeune fidaï (âgé aujourd'hui de 82 ans) qui a abattu le bachagha Ali Chekkal au stade de Colombes, à Paris, en 1957, avait fait l'objet d'un portrait dans l'une de nos précédentes éditions. La publication de cet article a fait réagir la famille Chekkal, dans l'ouest du pays, et dont un des membres s'est déplacé à la rédaction pour, dit-il, apporter certains éclaircissements nécessaires à l'écriture de l'histoire. Ce membre de la famille Chekkal ne remet pas en cause le rôle néfaste de Ali Chekkal qui a choisi individuellement sa trajectoire politique. «Ceci ne doit pas déteindre sur l'ensemble de la famille Chekkal qui jouit de l'estime et de la considération et qui compte dans ses rangs des martyrs morts pour la patrie et d'autres qui se sont sacrifiés pour l'indépendance de l'Algérie». L'amalgame, selon notre interlocuteur, ne doit plus subsister, chacun ayant choisi sa voie et Dieu reconnaîtra les siens ! Dont acte...