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Assassinat de journalistes Kidal : Le sang des martyrs, ferment de l’unité touareg
Même fama (1) n'a pu retenir ses larmes. Il a fini par craquer. En public. Ses sanglots, assez bruyants, retransmis par RFI, suscitent moult réactions aussi diverses que contradictoires. Ibrahim Boubacar Kéita, «l'homme à poigne», réputé pour son caractère bien trempé, a pleuré. Oui, il a pleuré. Comme une madeleine. Le lundi 4 novembre 2013 devant deux cercueils.