mis à jour le

Mali : Alerte rouge du patron des Casques bleus
A la guerre, s'il est une chose qu'il ne faut pas accorder à l'ennemi, c'est bien le répit. Le moindre relâchement est une occasion pour l'adversaire de reconstituer ses forces opérationnelles, de mieux se réorganiser puis de lancer la contre-attaque au moment où l'on s'y attend le moins. Et s'il est une situation face à laquelle même les armées les plus redoutables deviennent vulnérable, c'est bien l'effet de surprise.