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Kati : Quand IBK met un général au pas
Par ces temps qui courent, s'il y a bien un Malien qui ne dort pas sur ses deux oreilles, c'est assurément le désormais général Amadou Aya Sanogo. D'abord contesté par ses compagnons d'armes mécontents de n'avoir pas bénéficié, comme lui, d'eue promotion, il vient d'être sommé de libérer son QG, le camp militaire de Kati, d'où est parti le mouvement d'humeur des "oubliés" des faveurs accordées à certains officiers putschistes du 22 mars 2012. Une sommation assortie d'un ultimatum de quarante-huit heures. Ordre qu'il a exécuté visiblement au garde-à-vous réglementaire.