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Tirs
La démocratie en Jordanie se fait à balles réelles . En effet trois coups de feu ont résonné dans le Parlement jordanien après qu’un parlementaire a ouvert le feu avec un Kalachnikov AK-47 en pleine session, sans faire de blessés.
Le Parlement jordanien a tout simplement frisé le drame mardi 10 septembre courant. Le député jordanien Talal al-Sharif a été arrêté et placé quinze jours en détention pour avoir tiré avec un AK-47 en direction d’un autre élu du Parlement, Qusay al-Damissi. Aucun blessé n’est à déplorer, mais le monde politique jordanien reste sous le choc. La dispute s’est déroulée dans la Chambre des députés. Le tireur a été exclu du Parlement et al Damissi suspendu pendant un an.
La mécanique de la gâchette comme argument final
La chaîne qatarie Aljazeera rapporte que cette altercation a pour origine un désaccord autour d’une problématique budgétaire… qui s’est transformé en dispute cinglante et dont l’issue aurait pu être funèbre. La vidéo nous permet d’apercevoir un député sortant discrètement une arme de sa poche dès le début de la dispute. Plusieurs minutes après règne une parfaite cacophonie teintée d’insultes et de menaces. Puis, des détonations se font entendre. Talal al-Sharif vient de tirer trois balles de son AK-47 vers son collègue en désaccord, provoquant la panique et pétrifiant les élus.
Trois chefs d’accusation pour Talal al-Sharif
Enca tient d’une source judiciaire que trois charges sont retenues à l’encontre du tireur : « tentative de meurtre, possession illégale d’arme à feu et refus d’obtempérer. » Plusieurs données restent encore à élucider et suscitent la stupeur générale, telle que la manière dont Talal al-Sharif a pu faire entrer une arme de ce gabarit, détenue dans l’illégalité, au sein du Parlement.
Si cet incident incompréhensible choque, étant même qualifié « d’offense à tous les citoyens », la Jordanie n’en est pas à son premier fait divers de cet acabit. En mars dernier, lors d’une réunion au Parlement, un député en colère avait tenté (…) Lire la suite sur Gentside.comLe Parlement jordanien a tout simplement frisé le drame mardi 10 septembre. Le député jordanien Talal al-Sharif a été arrêté et placé quinze jours en détention pour avoir tiré avec un AK-47 en direction d’un autre élu du Parlement, Qusay al-Damissi. Aucun blessé n’est à déplorer, mais le monde politique jordanien reste sous le choc. La dispute s’est déroulée dans la Chambre des députés. Le tireur a été exclu du Parlement et al Damissi suspendu pendant un an.
La mécanique de la gâchette comme argument final
La chaîne qatarie Aljazeera rapporte que cette altercation a pour origine un désaccord autour d’une problématique budgétaire… qui s’est transformé en dispute cinglante et dont l’issue aurait pu être funèbre. La vidéo nous permet d’apercevoir un député sortant discrètement une arme de sa poche dès le début de la dispute. Plusieurs minutes après règne une parfaite cacophonie teintée d’insultes et de menaces. Puis, des détonations se font entendre. Talal al-Sharif vient de tirer trois balles de son AK-47 vers son collègue en désaccord, provoquant la panique et pétrifiant les élus.
Trois chefs d’accusation pour Talal al-Sharif
Enca tient d’une source judiciaire que trois charges sont retenues à l’encontre du tireur : « tentative de meurtre, possession illégale d’arme à feu et refus d’obtempérer. » Plusieurs données restent encore à élucider et suscitent la stupeur générale, telle que la manière dont Talal al-Sharif a pu faire entrer une arme de ce gabarit, détenue dans l’illégalité, au sein du Parlement.