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La tension est montée d'un cran sur les bords du Nil. Accrochages verbales, bagarres rangées, tout ou presque est passé. Des armes blanches, comme les gourdins, des pistolets à cartouches, des armes automatiques et même des fusils d'assaut ont été utilisés. Le bilan alarmant est funeste. On a déploré au total une vingtaine de morts et des centaines de blessés dans la nuit du mardi au mercredi 3 juillet. Pour ne rien arranger, le chef de l'Etat, Mohamed Morsi et le chef du Conseil suprême des forces (...) - Point de vue