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C’est un travail d’équilibriste qui est désormais demandé au système de santé. La bonne gouvernance de la politique sanitaire est de trouver un arbitrage entre le financement du système et la couverture universelle tout en n’oubliant pas la qualité de soin. Cet équilibre est au cœur des débats des deuxièmes assises de la santé qui se poursuivent jusqu’au 3 juillet à Marrakech. C’est aussi une des recommandations du Pr.