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Baccalauréat 2013 Une entame avec des épreuves relativement abordables
107.761 candidats répartis dans 325 jurys ont entamé, hier mardi 2 juillet, l'examen du Baccalauréat général, au Sénégal. Les candidats des centres John Fitzgerald Kennedy et Blaise Diagne parlent de sujets relativement abordables.
10 heures au centre du Collège d'enseignement moyen (Cem) de Blaise Diagne. Un calme plat règne dans la cour. Des élèves sortent un à un des salles de classe. Certains se mettent à commenter, d'autres relisent leurs brouillons. Les candidats interpelés parlent d'un retard d'une heure de temps dans la remise des épreuves. Attente qui, selon Adama Diagne, un candidat, les a quelque peu stressés, alors même que l'épreuve n'était pas aussi difficile. Son camarade de salle Ousmane Diaw ira dans la même veine, confiant avoir traité le sujet en classe, pendant l'année scolaire. Se prononçant sur ce léger retard, l'adjoint du chef de centre, Ousmane Bâ alléguera des problèmes administratifs. «Les surveillants et les candidats étaient tous à l'heure au centre mais, à cause de problèmes administratifs, on a entamé avec du retard», informera-t-il. Ainsi, 766 candidats ont démarré avec les langues vivantes 1, à savoir l'anglais, l'espagnol, l'arabe, entres autres, dans quatre jurys et avec, selon toujours Ousmane Ba, « trois à quatre surveillants par salle, conformément au mot d'ordre des syndicats d'enseignants».
Le centre John Fitzgerald Kennedy n'a pas connu le même couac que le Cem Blaise Diagne. Au sortir de la première épreuve, les candidats qui grouillaient dans la cour de l'école comparaient leurs réponses. Rokhaya Diagne, satisfaite des premières épreuves, parlera d'un bon petit déjeuner. «Je souhaite que le déjeuner soit ainsi», confiera-t-elle, taquine, parlant des sujets à venir. Par contre, cette candidate qui a choisi arabe comme première langue n'est pas d'avis avec ses camarades. Selon Oumy Laye Diène, c'était trop difficile. «On n'a jamais traité ce genre de sujets en classe. Peut-être, avec la suite, je vais me rattraper», dira-t-elle. Non loin d'elle, une autre candidate confessera avoir traité toutes les questions, magnifiant des sujets, dans l'ensemble, abordable.
Aïssatou DOUCOURE NDIAYE
10 heures au centre du Collège d'enseignement moyen (Cem) de Blaise Diagne. Un calme plat règne dans la cour. Des élèves sortent un à un des salles de classe. Certains se mettent à commenter, d'autres relisent leurs brouillons. Les candidats interpelés parlent d'un retard d'une heure de temps dans la remise des épreuves. Attente qui, selon Adama Diagne, un candidat, les a quelque peu stressés, alors même que l'épreuve n'était pas aussi difficile. Son camarade de salle Ousmane Diaw ira dans la même veine, confiant avoir traité le sujet en classe, pendant l'année scolaire. Se prononçant sur ce léger retard, l'adjoint du chef de centre, Ousmane Bâ alléguera des problèmes administratifs. «Les surveillants et les candidats étaient tous à l'heure au centre mais, à cause de problèmes administratifs, on a entamé avec du retard», informera-t-il. Ainsi, 766 candidats ont démarré avec les langues vivantes 1, à savoir l'anglais, l'espagnol, l'arabe, entres autres, dans quatre jurys et avec, selon toujours Ousmane Ba, « trois à quatre surveillants par salle, conformément au mot d'ordre des syndicats d'enseignants».
Le centre John Fitzgerald Kennedy n'a pas connu le même couac que le Cem Blaise Diagne. Au sortir de la première épreuve, les candidats qui grouillaient dans la cour de l'école comparaient leurs réponses. Rokhaya Diagne, satisfaite des premières épreuves, parlera d'un bon petit déjeuner. «Je souhaite que le déjeuner soit ainsi», confiera-t-elle, taquine, parlant des sujets à venir. Par contre, cette candidate qui a choisi arabe comme première langue n'est pas d'avis avec ses camarades. Selon Oumy Laye Diène, c'était trop difficile. «On n'a jamais traité ce genre de sujets en classe. Peut-être, avec la suite, je vais me rattraper», dira-t-elle. Non loin d'elle, une autre candidate confessera avoir traité toutes les questions, magnifiant des sujets, dans l'ensemble, abordable.
Aïssatou DOUCOURE NDIAYE