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Visite de Barack Obama au Sénégal : Pour Djibo Kâ, la politique étrangère doit «transcender les positions partisanes»
La visite de Barack Obama au Sénégal est un prétexte pour Djibo Leyti Kâ d'appeler à un «consensus autour de la politique étrangère» du pays. Dans un communiqué, le secrétaire général de l'Union pour le renouveau démocratique (Urd) rappelle que cette politique étrangère, depuis l'accession du pays à la souveraineté internationale, est une «constante», sur la base des principes de «bon voisinage», d'«unité africaine», d'«intégration régionale», de «fidélité à nos amitiés et leur élargissement», mais aussi de «défense des intérêts nationaux dans le cadre de l'interdépendance des Peuples». Des principes qui indiquent qu'elle (cette politique étrangère) est «au-dessus des contingences conjoncturelles, voire partisanes».
Le chef des rénovateurs estime qu'à chacun de ces principes, «ont correspondu et correspondent encore et toujours une démarche et des initiatives adéquates» et qu'à chaque contexte et à chaque dirigeant «un style et une méthode qui renseignent sur sa personnalité, sa culture et ses sensibilités».
Djibo Leyti Kâ de souligner : «Il a fallu au pays de se rassembler autour de ces options adossées sur une démocratie pluraliste et sur un Etat de droit avec des institutions républicaines crédibles, pour être présent sur la scène internationale, au-delà de ses ressources matérielles.» Par conséquent, explique-t-il, «ce n'est pas un hasard» si Bill Clinton, Georges Bush, et aujourd'hui Barack Obama ont visité le Sénégal. Pourtant, fait-il remarquer, «il y a d'autres pays de la sous-région mieux dotés en ressources que le Sénégal». Ce qui signifie, à ses yeux, «un message fort d'encouragement».
Pour toutes ces raisons, exhorte l'ancien ministre des Affaires étrangères, «nous devons, au-delà de nos différences et de nos options idéologiques, voire de nos sensibilités différentes, rester rassemblés autour de la politique étrangère de notre pays qui doit demeurer sur cette ligne qui transcende les positions partisanes». Le député non-inscrit, ancien ministre sous Wade, d'appeler enfin le gouvernement de Macky Sall à «traduire en actes tous les avantages pour le pays qui résulteraient des visites comme celle du Président Barack Obama».
Le Quotidien
Le chef des rénovateurs estime qu'à chacun de ces principes, «ont correspondu et correspondent encore et toujours une démarche et des initiatives adéquates» et qu'à chaque contexte et à chaque dirigeant «un style et une méthode qui renseignent sur sa personnalité, sa culture et ses sensibilités».
Djibo Leyti Kâ de souligner : «Il a fallu au pays de se rassembler autour de ces options adossées sur une démocratie pluraliste et sur un Etat de droit avec des institutions républicaines crédibles, pour être présent sur la scène internationale, au-delà de ses ressources matérielles.» Par conséquent, explique-t-il, «ce n'est pas un hasard» si Bill Clinton, Georges Bush, et aujourd'hui Barack Obama ont visité le Sénégal. Pourtant, fait-il remarquer, «il y a d'autres pays de la sous-région mieux dotés en ressources que le Sénégal». Ce qui signifie, à ses yeux, «un message fort d'encouragement».
Pour toutes ces raisons, exhorte l'ancien ministre des Affaires étrangères, «nous devons, au-delà de nos différences et de nos options idéologiques, voire de nos sensibilités différentes, rester rassemblés autour de la politique étrangère de notre pays qui doit demeurer sur cette ligne qui transcende les positions partisanes». Le député non-inscrit, ancien ministre sous Wade, d'appeler enfin le gouvernement de Macky Sall à «traduire en actes tous les avantages pour le pays qui résulteraient des visites comme celle du Président Barack Obama».
Le Quotidien