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SAUF miracle de dernière minute, il semble que la Comarit est en train de vivre ses derniers moments. Celle qui avait été considérée comme le fleuron du pavillon maritime national n’est plus, malheureusement, qu’un lointain souvenir. Sa survie, elle la doit à la bouffée d’oxygène que le tribunal de Tanger lui avait fourni via la mise sous redressement judiciaire, le 24 février dernier.
Le siège de la Comarit en plein boulevard à Tanger acheté à 150 millions de DH il y a quelques années, l’un des biens les plus précieux du groupe maritime