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La fête des épines des roses et l’ombre de Nba Saghru !
Plus je m'éloigne de ces montagnes où j'ai vu le jour, comme plein d'autres d'enfants de nomades et de populations emprisonnées dans le silence étouffant de ces contrées que même le ciel semble oublier, plus l'appel de mes racines et le cri de ces voix qui semblent ne pas trouver d'entendeur, où quand on finit par les entendre on les enterre juste après. Cet appel devient encore plus fort et plus douloureux avec à chaque jour qui passe.