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Liberté de la presse : «Le journaliste, c’est bien n’importe qui», Me Prosper Farama
Est-ce que les questions d'insécurité et d'impunité ne concernent que les journalistes ? Pourquoi aime-t-on particulariser le journaliste ? Est-ce parce qu'il n'est pas n'importe qui ? Oh que non, l'homme de médias est bien n'importe qui et, comme quiconque, a besoin de jouir de tous ses droits et d'exercer en toute sécurité son métier. Ces questions et réponses sont de Me Prosper Farama, qui a animé aux côtés de deux autres communicateurs, dans le cadre de la commémoration de la Journée mondiale de la liberté de la presse, un panel sur «La sécurité des journalistes et l'impunité au Burkina Faso». C'était le jeudi 2 mai 2013 aux Archives nationales.