
mis à jour le
Une fois n’est pas coutume. Ce 1er Mai, les syndicats se sont retrouvés en ordre dispersé, essentiellement à Rabat et Casablanca pour se faire entendre. Mais, ils en ont profité pour donner de la voix contre le gouvernement Benkirane qu’ils somment en vain de "changer de cap".
Cette année l'affiche partagée par toutes les centrales montre l'ouvrier cassant les chaînes de l’article 288 du code pénal qui porte répression des libertés syndicales