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Côte d'Ivoire : ADO et ses boulets de «com-zone»
Et de trois contre le régime d'Alassane Dramane Ouatarra, le chef de l'Etat ivoirien. Les uns aussi accablants que les autres. En l'espace de deux mois.
- Fin mars 2013 : la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH), au terme de plusieurs mois d'enquête, dénonce l'impunité dont les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) et leurs supplétifs, les chasseurs traditionnels dozos, bénéficient de la part du pouvoir. Nonobstant les graves crimes de guerre perpétrés à Duékoué, particulièrement à Nahibly en 2012 ;
- jeudi 4 avril 2013 : Human Rights Watch, dans un rapport de 82 pages intitulé « Transformer les discours en réalité : l'heure de réclamer des comptes pour les crimes internationaux graves perpétrés en Côte d'Ivoire», accuse ouvertement le pouvoir de Ouattara de pratiquer une justice des vainqueurs. Contrairement aux engagements pris ;